Comme son nom l’indique, cette huile minérale s’applique au stade dormant, juste avant le débourrement des bougeons. Idéalement, la température de l’air doit être aux alentours de 12 à 15 degrés durant les quelques jours entourant l’application. Il ne faut surtout pas qu’il y ait de gel la nuit qui suit l’application, ni de pluie forte dans les 24 heures. Le choix de la période d’application est central pour obtenir le maximum d’efficacité. Un traitement trop tôt ne donnera pas les résultats escomptés. Si toutefois vous devez l’appliquer après le débourrement, il faudra alors appliquer une demi-dose afin de ne pas endommager la plante. Saviez-vous que vaporiser l’huile de dormance sur vos feuillus et haie de cèdres est une action préventive de haut rendement? L’huile de dormance s’avère tout simplement une huile minérale. Lorsque celle-ci est appliquée sur les végétaux, elle a un effet de suffocation sur les œufs et insectes nuisibles, car en les recouvrant d’huile, cette action vient donc boucher leurs pores. Ne vous inquiétez pas, cette huile n’est pas nuisible pour les humains, mammifères, oiseaux, poissons et autres espèces. Bref, elle vous aide tout simplement à réduire vos problèmes de pucerons, acariens, tétranyques, cochenilles en plus de diminuer le nombre d’applications secondaires de vaporisation foliaire nécessitant un insecticide. La suite...
0 Commentaires
Rock Giguère 18 avril 2016 19 h au Baril Grill Les iris, une addition essentielle au jardin » a pour objectif de vous montrer les possibilités de la culture des iridacées dans votre jardin, et surtout leur capacité d'intégration et de complémentarité dans la plate-bande: la multiplicité des couleurs, la disponibilité de nombreux cultivars, l'aspect décoratif du feuillage, etc.
En première partie, après un bref historique de leur utilisation au jardin, nous verrons la distinction entre les iris bulbeux et rhizomateux. Le but étant de se familiariser avec la culture (plantation, division, fertilisation, lutte contre les maladies, rusticité, etc.) au Québec, des iris bulbeux (I. danfordiae, I. reticulata et iris de Hollande) et des iris rhizomateux (I. versicolor, I. pseu- docarus, I. cristata, I. germanica, I. sibirica et I. kaempferi). Nous parlerons également des sources d'approvisionnement disponibles pour l'horticulteur québécois. Le bonheur est dans le pré, ou plutôt dans le jardin. Car on le sait peut mais lorsqu'on rempote, on fait du sport en plein air, et donc, on fait du bien à son corps. La preuve par 5 bienfaits réellement insoupçonnés du jardinage sur la santé. Et maintenant, plantez !1– On brûle des calories
Lorsqu'on jardine, on s'entoure de superbes fleurs, on cultive ses propres légumes, et sans forcément s'en rendre compte, on pratique une activité physique. A tel point que les experts se sont amusés à faire quelques rapprochements entre ce loisir et certains sports. Ainsi, s'occuper de son jardin durant 45 minutes correspond à 30 minutes d'aérobic ou de course à pied, tandis que lorsqu'on tond son gazon avec une tondeuse à main, on dépense la même énergie qu'en faisant de la natation ou des exercices d'aérobic. Comparé à un sport doux, le jardinage permet tout de même de brûler 1 000 calories sur une période de 3h30. Une étude menée par un hôpital toulousain sur un échantillon de 1 200 personnes a ainsi montré que le jardinage favorisait la forme physique et l'entretien de la masse musculaire tout en réduisant les risques d'obésité. De quoi nous donner l'envie de remplacer nos exercices de cardio par un arrosoir et un chapeau de paille. 2– On réduit les risques cardiovasculaires Cultiver son basilic, tailler son rosier... quand on s'affaire dans son jardin, on se connecte à la nature, on mémorise les noms des végétaux, on se situe mieux dans l'espace, on se vide la tête et on fait même du bien à son cerveau et à son coeur. Et oui, une étude menée en Allemagne a montré qu'en jardinant, on réduisait de 30 à 50% les risques de maladies cardiovasculaires. La suite...
|
Archives
Septembre 2018
|