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(Québec) Par définition, une plante annuelle ne vit qu'une seule année. Elle germe, pousse, fleurit, produit des graines et meurt à la fin de la saison. De nombreuses plantes de nos jardins sont annuelles. Parmi les fleurs, il y a les cosmos, les tagètes et les zinnias. Parmi les fruits et les légumes, il y a les melons, les laitues, les haricots. Et la plupart des céréales sont de véritables annuelles. Mais, de nos jours, la plupart des plantes que nous cultivons comme fleurs annuelles sont plutôt des plantes vivaces non rustiques, appelées couramment «vivaces tendres». C'est le cas des pélargoniums, des fuchsias, des bégonias, des pétunias et des impatientes... et même de plusieurs légumes : les tomates et les poivrons, par exemple. Ces plantes sont vivaces sous d'autres climats, mais gèlent l'hiver au Québec. Donc, chez nous, leur croissance est généralement annuelle.
Qu'est-ce que ça change? À la différence des véritables annuelles qui meurent à la fin de la saison, qu'il y ait gel ou non, on peut rentrer les vivaces tendres pour l'hiver et ainsi les conserver jusqu'au printemps prochain. Il en résulte une très bonne économie quand vient le temps d'acheter de nouvelles annuelles au printemps. Et c'est en plein la saison. La suite... lapresse.ca (Québec) Parmi les vedettes du jardin automnal se trouve une plante vivace unique, la galane (Chelone spp.). Cette plante est toujours solidement debout, jamais penchée, jamais brisée, même quand la lumière est très faible ou le vent très fort. Si seulement toutes les plantes se comportaient ainsi! À la toute fin de l'été et à l'automne, des fleurs blanches ou roses tubulaires s'épanouissent sur un court épi au sommet de chaque tige. Elles sont curieusement assemblées, étant plutôt fermées à l'extrémité, avec seulement une petite ouverture et ressemblent à un bec. Les Acadiens trouvaient que la fleur ressemblait à une tête de tortue et l'ont appelée «la tortue», d'où son nom botanique, car Chelone (on prononce «ké-lonne») est le nom grec pour tortue. Le nom couramment utilisé - galane - dériverait d'une mauvaise prononciation de Chelone, tout simplement. La suite...
lapresse.ca ![]() AVEZ-VOUS déjà pensé qu’un papillon pourrait causer des dommages à votre pelouse ? Le papillon, nommé la pyrale, est présentement en activité sur les pelouses. Ce papillon est d’apparence blanchâtre avec des petites tâches brunes. Il est presque inactif le jour, sauf lorsqu’on le dérange, il survole la pelouse en zigzaguant, et ce, sur une courte distance cherchant ainsi un endroit pour déposer ses œufs. Actuellement, ce dernier est en train de pondre. Au stade adulte, cet insecte n’endommage pas la pelouse, son rôle n’est que de reproduction, et ce, de la fin juillet jusqu’au début août. De ce fait, la pyrale disperse ses œufs sur les brins de gazon. Ainsi, ses œufs deviennent des larves lorsque l’humidité augmente et font des dommages vers la fin août jusqu’aux gelées d’automne. La suite... groupeferti.com ![]() Un des grands mythes de l’entretien de la pelouse est que la fertilisation avec un engrais commercial suffit à la garder en parfait état. Ainsi tant de compagnies offrent des engrais à gazon – souvent à applique en 3 ou 4 étapes! – qui vous donneront un résultat… médiocre. C’est que même le meilleur sol au monde s’épuise avec le temps si on ne rajoute pas de matière organique… et l’engrais, même biologique, ne contient essentiellement que des minéraux et très peu de humus (matière organique décomposée). Donc cette manie que nous, les Occidentaux, avons de dépendre uniquement sur l’engrais pour fertiliser nos pelouses finit par donner un sol «minéralisé», c’est-à-dire, où les minéraux abondent mais où l’humus est presque absent. Sans matière organique, le sol devient dur et compact et les racines des graminées s’étouffent. La suite... jardinierparesseux.com ![]() Pour assurer un arrosage convenable la première année de plantation, soit l’année où les plantes s’établissent et ont besoin de plus d’arrosages, pourquoi ne pas former une cuvette d’arrosage autour de chaque nouvelle plante? C’est une technique surtout utilisée avec les arbres, les arbustes et les conifères, car leur établissement est habituellement plus lent que celui des plantes herbacées et aussi parce qu’ils sont habituellement de bonne taille à la plantation et exigent alors plus d’eau à chaque arrosage que les plantes de plus petite taille. On peut toutefois aussi l’appliquer à n’importe quelle plante, surtout si elle se trouve dans une situation où elle risque de souffrir d’un manque d’eau. La suite... jardinierparesseux.com Au retour d’une longue absence, quelques bons réflexes inciteront les plantes à fleurs à entamer une seconde saison et à jouer l’été indien, même si certaines ont manqué d’eau ! Pour
Pour profiter de belles fleurs plus longtemps, suivez nos conseils ! Commencez par retirer les fleurs fanées dans les massifs. Taillez les plantes de potée fleurie (dipladénias, bidens, etc.) pour encourager un nouveau départ. Trois jours après, apportez un engrais liquide. Arrosez sans attendre les plants flétris, en arrosant de nouveau le lendemain. Si les feuilles ont grillé, rabattez légèrement les branches : les branches repartiront de plus belle, en entament une nouvelle pousse cet automne ou bien se remettront en attendant le printemps prochain. Il est toujours temps de regarnir les massifs et les compositions avec des plantes qui dureront jusqu’aux plus fortes gelées : laissez-vous tenter par les rudbéckias, les premières marguerites d’automne ainsi que les callunes, cousines des bruyères mais à floraison estivale. La suite... monjardinmamaison.fr
![]() Cela n’a pas tellement dérangé tant que les jardiniers cultivaient surtout des pélargoniums (les variétés annuelles). Il suffisait d’utiliser le terme «géranium» et tout le monde vous comprenait. Mais depuis les 40 dernières années, les vrais géraniums (Geranium spp.), soit les géraniums rustiques, sont devenus très populaires dans les jardins de climat tempéré. Après tout, quel propriétaire de platebande ne cultive pas Geranium ‘Rozanne’, G. ‘Johnson’s Blue’ ou le géranium sanguin (G. sangineum)? Pour distinguer les pélargoniums, ceux qui ne peuvent pas survivre à l’hiver sous les climats tempérés, des vrais géraniums, ceux qui vivent toute l’année en plein air, nous avons appris à appeler les plantes de ce dernier groupe des «géraniums vivaces». La suite... jardinierparesseux.com Notre prochain événement sera dans un mois. Il sagit d'une conférence avec Andrée Fortier et Daniel Lemieux de Les Vivaces du Merle Bleu. Andrée et Daniel seront heureux de partager leurs connaissances sur le merveilleux monde des hostas, sur les nouvelles tendances ainsi que leurs caractéristiques exceptionnelles.
La conférence aura lieu lundi le 21 septembre à 19 h au Baril-Grill. Chaque plante a sa stratégie pour conquérir les environs : adaptez la vôtre pour limiter leur développement et ne pas vous laisser déborder ! 1- LA BÊCHE POUR LES GRANDES VIVACES
Les variétés haut perchées, comme la bocconie (Macleaya cordata), peuvent devenir encombrantes. Le pavot en arbre (Romneya), les renouées et les bambous nains posent le même souci. Toutes ces plantes s’étendent en une touffe lâche, en émettant des rejets au loin et qui naissent parfois à plusieurs mètres de leur lieu d’origine. Retirez-les maintenant, alors que la croissance printanière a pris fin et que les rejets sont bien visibles. À la bêche, déterrez les drageons situés à faible profondeur, partant en étoile depuis le pied. Évitez de les casser : les fragments laissés en terre donneront une nouvelle plante. Ces rejets pourvus de leurs tiges et de leurs feuilles, une fois arrachés, reprennent mal si on les replante tels quels. Vous pouvez en revanche en faire des boutures, en plaçant des longueurs de rhizome de 30 cm, à l’horizontale, dans du terreau et à l’ombre. Ils émettront de nouvelles pousses et des racines en un mois environ. La suite... monjardinmamaison.fr |
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Septembre 2018
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