Au jardin, les parfums ajoutent une dimension non palpable, mais combien délicieuse et agréable ! Il s’agit simplement de sentir de nouveau une odeur pour être submergé par les sensations qui lui sont liées. Le parfum des plantes, un plaisir à ne pas négliger, qui d’ailleurs n’est pas le seul privilège des fleurs, mais aussi celui de nombreux feuillages. Les parfums au gré des saisons Plus que bienvenus après l’hiver, les parfums printaniers tendent à être frais et fleuris ou sucrés et capiteux. Les premiers sont ceux des bulbes printaniers, en particulier celui puissant de la jacinthe, ensuite viennent ceux fleuris et tant attendus des lilas, celui à fleur d’oranger du seringat et les parfums capiteux des roses hâtives. La chaleur et l’humidité donnent à ceux de l’été de l’intensité, ils sont souvent capiteux, avec des notes miellées comme la giroflée, lourds, comme le tabac d’ornement, ou encore épicés, comme la plante de curry. À cette saison, certaines plantes préfèrent attendre la pénombre pour dégager leurs effluves, comme les chèvrefeuilles grimpants qui embaument la nuit de leur parfum unique. Enfin, à l’automne, les parfums se font plus rares et plus subtils. L’exception, l’arbre au caramel — Cercidiphyllum japonicum —, dont le feuillage dégage, vous l’aurez deviné, une odeur de caramel avant sa chute. La suite... ledevoir.com
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Septembre 2018
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